Depuis sa création en 1833, le Grand Orient de Belgique défend la franc-maçonnerie dans sa dimension « adogmatique et progressiste ». Elle ne peut donc être assimilée à une église ou tout autre structure proposant une pensée unique. Elle n’est pas plus un parti politique ou une organisation syndicale. Bien qu’ancrée dans le monde réel, elle n’est pas pour autant un centre laïque. Elle est fondamentalement attachée à la liberté d’opinion, la liberté de conscience et réfractaire à toute instrumentalisation ou contraintes extérieures. Liberté, Égalité, Fraternité

Saisir des mots clefs à rechercher

dimanche 22 janvier 2023

Histoire du droit | France culture 12 janvier 2023


L’histoire du droit s’écrit sur le temps long. C’est un va-et-vient d’inspirations, d’adaptations. Le droit est l’image des sociétés qui le formulent, l’appliquent, et l’interprètent. Romain, coutumier ou international, qu’est-ce que le droit ? Le droit anglais est-il une exception dans l’histoire ?


Épisodes


>>> % pur ius, une histoire du droit romain

Le droit romain désigne généralement le droit produit sous la République romaine et l'Empire, entre 509 avant J.-C. et 476 après J.-C. Tout au long de ce millénaire, le ius, oral et écrit, évolue et se fixe peu à peu. Pourquoi est-il resté si essentiel dans l'histoire du droit ?


>>> Coutumier et canon ! Le Moyen Âge fait son droit

À partir du XIIe siècle, les droits romain et canonique sont enseignés dans les écoles et les universités. De Bologne à Orléans, une science du droit s’instaure. Dans quelle mesure l’étude du droit savant modifie-t-elle la pratique du droit à l’échelle de l’Europe occidentale ?


>>> Rêver un monde en paix ? Histoire du droit international

Définir le droit international public comme un ensemble de règles destinées à réguler des relations entre groupes sociaux indépendants, c’est pouvoir faire remonter ses origines à la Mésopotamie. Pourtant, sa naissance est plus souvent corrélée à celle du capitalisme et de l'État-nation...


>>> Le droit anglais, une exception dans l’histoire ?

Le roi d'Angleterre Jean signe la "Magna Carta" afin de préserver les privilèges de la noblesse. Illustration de James William Edmund Doyle, 1864.

La "common law", le droit britannique, est souvent présentée comme différente du droit européen, car elle s'appuierait davantage sur la jurisprudence que les droits continentaux. L'analyse historique confirme-t-elle cette idée communément répandue ? Les Anglais font-ils vraiment tout différemment ?

Aucun commentaire:

Enregistrer un commentaire