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"Le Voyageur contemplant une mer de nuages" de Caspar David Friedrich, 1818 |
Épisodes
>>> Épisode 4/4 : Edvard Munch : "J’ai ressenti comme un grand cri"
C'est en 1893 que Munch peint "Le Cri", première oeuvre expressionniste de l'histoire de l'art. La maladie et les deuils l'affectent et le marquent d'une ombre qui émane dans son oeuvre. Retour sur la vie d'un peintre sous le signe de l'affect des affects, comme l'appelle Freud : l'angoisse.
>>> Épisode 3/4 : Kierkegaard, "L’angoisse est le vertige de la liberté"
Etre soi est difficile. L'écart face à nous-même, l'impossible synthèse de soi, l'état limite permanent dans lequel on se trouve : c'est cela l'angoisse, pour Kierkegaard, qu'il appelle cette "effrayante liberté de pouvoir". Etre angoissé permet-il alors de devenir soi ?
>>> ∆∆∆ ∆∆∆ ∆∆∆ Épisode 1/4 : Lucrèce, Montaigne, Pascal : bonjour l’angoisse !
Le philosophe Michel de Montaigne (1533-1592) est un mélancolique qui fuit l'angoisse, Lucrèce (Iᵉʳ siècle av. J.-C.) et Blaise Pascal (1623-1662), des angoissés du néant. Pourquoi lire ces penseurs nous permet-il d'échapper au désespoir de la condition humaine ?
>>> Épisode 2/4 : La psychanalyse est-elle un remède à l’angoisse ?
L'angoisse, pour Freud, renvoie à des affects qui s'écartent du fleuve de la vie... Universelle, l'angoisse est sérieuse, utile au désir, moment de vérité, elle signifie toujours quelque chose. Que nous dit-elle de nous ?
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